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  • 1
    ISSN: 1420-9098
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Resume Nous avons réalisé une étude expérimentale du développement de grandes larves ayant hiverné, chez 4 espèces deMyrmica. Utilisant une gamme de températures de 15°C à 25°C, nous avons montré que: 1. Il n'y a pas de différences entre les espèces quant à l'effet de la température sur les durées de développement. Toutes suivent le modèle: log. durée de développement =a-b T°C, avec la même valeur pour b. Ceci donne un Q10 effectif d'environ 3,1. Ce résultat est en accord avec les estimations de respirométrie chez les ouvrières de fourmis. 2. Les valeurs de a diffèrent de façon significative entre la plupart des espèces, ce qui confirme la différence intrinsèque que nous avions démontrée à la température constante de 22,5°C dans un précédent travail. Les durées de développement larvaire peuvent être ainsi classées, de la plus rapide à la plus lente:Myrmica ruginodis Nyl.,Myrmica rubra L.,Myrmica scabrinodis Nyl. etMyrmica sabuleti Meinert. A toutes les températures, il faut 1,5 fois plus de temps àM. sabuleti qu'àM. ruginodis pour qu'une grande larve ayant hiverné se transforme en nymphe blanche. 3. Nous n'avons pas observé de grandes différences dans la survie des larves et la production des reines, aux températures utilisées dans nos expériences. La plupart des espèces survivent le mieux à 22°C environ. 4. Les résultats sont brièvement discutés en fonction de la distribution écologique des 4 espèces dans le Sud de l'Angleterre. 5. Nous discutons les effets possibles d'un régime de température variable. Nous suggérons que l'amplitude des variations peut ne pas avoir un effet important alors que la périodicité des variations pourrait avoir un effet plus important.
    Notes: Summary The effect of temperature upon the development of large hibernated larvaæ of fourMyrmica species has been tested experimentally. Over the viable temperature range of 15–25°C, it was found that: 1. There are no differences between the species in the effect of temperature upon development times. All fit the model log Dev. time=a-b T°C with a common value for b. This gives an effective Q10 of about 3.1 which agrees with respirometrical estimates for worker ants. 2. The value for the intercept (a) differs significantly between most species confirming the intrinsic difference that has been demonstrated at a constant 22.5°C in previous work. The development times of larvæ can be ordered from fastest to slowest being:Myrmica ruginodis Nyl.,Myrmica rubra L.,Myrmica scabrinodis Nyl. andMyrmica sabuleti Meinert. At any temperature it takesM. sabuleti about 1.5 times as long asM. ruginodis to grow from a large hibernated larva to a white pupa. 3. No large differences in larval survival or gyne production could be detected between the temperature treatments. There was an indication that most species, survived best at about 22°C. 4. The results are discussed briefly in terms of the ecological distribution of the four species in the South of England. 5. The possible effects of a fluctuating temperature regime are discussed, it is suggested that the amplitude of fluctuations may not have any great effect whereas the periodicity could be more important.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 2
    ISSN: 1420-9098
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Resume Les résultats sont établis à partir d'expériences concernant l'action de la reine sur la croissance et le développement des grosses larves hivernantes appartenant à 6 espèces deMyrmica. Elles montrent que: - Chez toutes les espèces, les reines empêchent le développement des «gynes» (jeunes reines non fécondées) à partir des grosses larves et tendent à diminuer le temps qui s'écoule entre le début de la croissance et la nymphose. - Le mécanisme de reconnaissance et d'inhibition des larves sexuées a été déjà étudié en détail chezMyrmica rubra L. parM.V. Brian. Il est actuellement démontré que ce mécanisme est commun à toutes les espèces deMyrmica; le développement des larves sexuées de chacune des espèces peut être supprimé par l'action des reines et des ouvrières de n'importe quelle autre espèce. - les larves des différentes espèces se développent à des vitesses différentes, quelle que soit l'espèce des ouvrières nourrices. De la plus rapide à la plus lente, on trouve le plus souvent:Myrmica ruginodis Nyl. (à la fois les variétésmacrogyna et microgyna), Myrmica sulcinodis Nyl.,M. rubra, Myrmica scabrinodis Nyl. etMyrmica sabuleti Meinert. - Les espèces peuvent être rangées dans le même ordre quand elles élèvent des larves appartenant à la même espèce, quelle que soit cette espèce. Cela montre qu'il s'agit d'une caractéristique propre à la fois aux larves et aux ouvrières nourrices.
    Notes: Summary The results are given from experiments on the effect of a queen upon the growth and development of large hibernated larvæ of six species ofMyrmica. These show that: - In all the species queens suppress the development of gynes (young unfertilised queens) from large larvae and tend to decrease the time between onset of growth and pupation. - The mechanism by which workers recognise and suppress gyne potential larvæ has been studied in detail previously forMyrmica rubra L. byM.V. Brian. This is now shown to be the same in the other commonMyrmica species; larvæ of any species can be suppressed by the queens and workers of any other species. - The larvæ of the different species develop at different rates regardless of the species of the workers rearing them. The larvæ rank:—Myrmica ruginodis Nyl. (both vars.,macrogyna andmicrogyna), Myrmica sulcinodis Nyl.,M. rubra, Myrmica scabrinodis Nyl. andMyrmica sabuleti Meinert—in order from the fastest to the slowest grower. - The species also rank in this order when they all rear the same larval species, regardless of the species of larvæ, showing that this is a trait of the nurse workers as well as a trait of the larvæ.
    Type of Medium: Electronic Resource
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  • 3
    Electronic Resource
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    Springer
    Insectes sociaux 28 (1981), S. 191-207 
    ISSN: 1420-9098
    Source: Springer Online Journal Archives 1860-2000
    Topics: Biology
    Description / Table of Contents: Resume 1. Chez lesMyrmica les sexués sont produits seulement quand le rapport nombre d'ouvrières/nombre de reines atteint une valeur élevée. Ceci suggère que dans les grosses colonies le contrôle royal sur le comportement des ouvrières est plus difficile; les expériences rapportées confirment et quantifient cette hypothèse. 2. Les reines bien qu'acceptées par les ouvrières peuvent être incapables d'exercer un rôle dans l'élevage des larves bipotentielles; pour exercer ce rôle elles doivent émettre un signal chimique diffusé par tout leur corps, très fort au printemps, partiellement masqué par un vernissage cellulosique mais complètement supprimé par un bain d'une minute dans de l'éther à 20°. 3. Les reines enfermées dans une cellule accessible aux ouvrières habitant d'autres cellules peuvent induire ces ouvrières à mordre de façon importante et fréquente les larves femelles bipotentielles; par contre elles ne peuvent amener ces ouvrières à sousalimenter ces larves et elles n'ont aucune action sur leur ovogenèse. 4. L'action de la reine sur la fréquence des cicatrices infligées aux larves et sur la croissance de ces larves est directement proportionnelle à la durée de sa présence hebdomadaire dans la colonie. Une présence de longue durée est nécessaire pour que les ouvrières arrêtent la sexualisation des larves. 5. Le contrôle par les reines de l'ovogenèse des ouvrières est d'autant plus fort que le séjour de la reine dans la société est plus long.
    Notes: Summary 1. InMyrmica spp. sexuals are only produced at high worker/queen ratios. This suggests that in large colonies, queen control over worker behaviour is more difficult; experiments are described which confirm this and quantify it. 2. Queens, though acceptable to workers, may be unable to influence the way they rear caste-labile larvae; for this they need to emit a chemical signal that is diffused over their body, strongest in spring, only partially masked by cellulose varnish, but completely eluted by one minute in ether at 20° C. 3. Queens confined to one of a set of cells but accessible to workers can induce workers in other cells to bite labile female larvae often and severely but they cannot cause workers to underfeed these larvae and they cannot affect the growth of eggs in workers' ovaries. 4. The effect of the queen on the scar intensity and on the growth of larvae is linearly related to the number of days/week that she is present. A high degree of “presence” is needed to stop workers sexualising larvae. 5. The degree of control by queens over oogenesis in workers follows a “dimishing returns” law as the number of days/week that she is present increases.
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