ISSN:
1435-0157
Keywords:
Key words groundwater recharge
;
arid regions
;
Iran
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Geosciences
Description / Table of Contents:
Résumé Un facteur limitant lorsqu'on développe la recharge artificielle d'une nappe est le colmatage de la surface du sol et la réduction concomitante des taux d'infiltration. Afin d'évaluer le degré d'amélioration de l'infiltration en grattant de différentes manières la surface du sol, une étude a été conduite sur trois sites de recharge artificielle (Kohrouyeh, Bagh-Sorkh et Kachak) dans la province d'Ispahan (Iran central). Cinq traitements (T1–T5) ont été testés et l'infiltration a été mesurée: T1, sur une couche de sédiments déposés; T2, après enlèvement du sédiment; T3, grattage des sédiments et du sol sur 5 cm; T4, grattage des sédiments et du sol sur 10 cm; et T5, enlèvement des sédiments et de 15 cm de sol. La teneur initiale en eau du sol sur les sites va de 1.0 à 2.87% à Kohrouyeh, 1.18 à 3.47% à Bagh-Sorkh, et 1.89 à 3.93% à Kachak. Les sols sonbt surtout des sols végétaux sableux. Les particules argileuses ont pénétré jusqu'à plus de 〉40 cm de profondeur dans certains bassins de recharge. Un accroissement significatif du taux final d'infiltration de la procédure T5 comparée à T1 a été observée sur tous les sites de recharge. Les taux finaux d'infiltration des procédures T1 et T5 à Kohrouyeh, Bagh-Sorkh et Kachak étaient respectivement 0.35 et 7.9, 1.22 et 12.3, et 0.93 et 6.2 cm/h. Les taux d'infiltration des procédures T2, T3 et T4 ne présentaient pas statistiquement de différences significatives. On en conclut donc qu'en moyenne la capacité d'infiltration de la recharge non traitée s'est accrue de 20.3 % par rapport aux valeurs initiales, et que le grattage du sommet du sédiment et du sol sur 15 cm peut améliorer 68.3 % de la capacité initiale d'infiltration.
Notes:
Abstract A limiting factor in developing artificial recharge of groundwater is clogging of the soil surface and consequent reduction of infiltration rates. In order to evaluate the degree of improving infiltration rates by scraping away various amounts of the upper soil materials, a study was conducted at three artificial recharge sites (Kohrouyeh, Bagh-Sorkh, and Kachak) in Isfahan Province, central Iran. Five treatments (T1–T5) were considered. Infiltration was measured: T1, on deposited sediment layer; T2, after removing the sediments; T3, scraping of sediments and 5 cm of soil; T4, scraping of sediments and 10 cm of soil; and T5, removing sediments and 15 cm of soil. Initial soil-moisture content of the sites ranged from 1.0–2.87% for Kohrouyeh, 1.18–3.47% for Bagh-Sorkh, and 1.89–3.93% for Kachak. The main texture of the soils was sandy loam. Clay particles have penetrated to a depth of more than 40 cm in some of the recharge basins. A significant increase in final infiltration rate of T5 as compared to T1 treatment was observed for all recharge sites. The final infiltration rates of T1 and T5 treatments for Kohrouyeh, Bagh-Sorkh, and Kachak sites were 0.35, 7.9; 1.22, 12.3; and 0.93, 6.2 cm/h, respectively. The differences between infiltration rates of T2, T3, and T4 treatments were not statistically significant. It is concluded that on average, the infiltration capacity of the untreated recharge facilities have reached 20.3% of the original values, and that scraping the top sediment layer and 15 cm of topsoil could restore 68.3% of the initial infiltration capacity.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/s100400050222
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