ISSN:
1871-4528
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Zusammenfassung Obwohl der Wert schottischer Saatkartoffeln seit langem bekannt ist, wurde die organisierte Bekämpfung der durch Blattläuse übertragenen Viruskrankheiten erst nebenbei gelegentlich eines im Jahre 1918 — in erster Linie wegen des Vorkommens von Kartoffelkrebs — eingeführten amtlichen Begutachtungsplanes aufgenommen. Mit Viruskrankheiten bei Handelspflanzgut befasste man sich erstmalig 1932; die Toleranz für ernstliche Krankheiten war 5%. Seither hat sich der Gesundheitszustand der schottigen Pflanzgutbestände fortwährend gebessert und in vielen Gegenden des Landes kommt Nichtgenchmigung von Ernten wegen Viruskrankheiten nur selten vor (Tabelle 1 und 2). Ausgangspflanzgut wird jetzt virusfrei aus einzelnen Mutterpflanzen vermehrt undjür die höchste Qualität, direkt aus virusgeprüften Saatkartoffeln, beträgt die Maximumtoleranz für Viruskrankheiten 10 Pflanzen je Acre für erkennbaren X-Befall und 2 Pflanzen je Acre für Blattroll. In den meisten Gegenden Schottlands werden gegenwärtig nur selten Ernten wegen Blattrolloder Mosaikkrankheit nicht genehmigt und die Tatsache, dass seit 1945 keine durch Blattläuse übertragene Viruskrankheit epidemisch aufgetreten ist, wird zum Teil der verminderten Häufigkeit von Infektionsquellen zugeschrieben. Fast im ganzen Lande ist die Ausbreitungsrate für Blattrollvirus höher als für Y-Virus. Diese im ganzen langsame Verbreitung des Y-Virus hat dazu beigetragen, Schottland vor der verheerenden Epidemie des Tabak Rippenbräune Virus, die zur Zeit auf dem europäischen Festland herrscht, zu bewahren. Aus Angaben des Begutachtungswesens und näheren Erhebungen geht hervor, dass die Ausbreitung im Süden und Osten, namentlich in den Küstengebieten, stärker ist als im Norden und Westen (Tabellen 2 und 3). Diese Verteilung dürfte mehr mit klimatologischen und topographischen Faktoren als beispielsweise damit zusammenhängen, dass Speisekartoffeln angebaut werden. In einigen Teilen Schottlands, insbesondere in Küstengebieten, kann die Verbreitung von Blattroll unerwünscht hoch sein. Auf vielen Parzellen in dieser Gegend verursachte die Verbreitung der Blattrollkrankheit jedoch nicht mehr als annähernd eine Verdopplung des Anteils befallener Pflanzen in dem Bestand — ein Verhältnis, das noch die Erzeugung von hinreichend gesundem Pflanzgut gestatten dürfte (Tabelle 4). Sogar auf Böden, die verhältnismässig ungünstig für die Erzeugung von Pflanzgut sind, kann die Verbreitung von Blattroll spät genug sein, damit Ausmerzen und andere direkte Bekämpfungsmittel wirksam sind (Tabelle 6). Auf Grund des bisher Bekannten über Vorkommen und Bekämpfung von Viruskrankheiten werden einige künftige Entwicklungsmöglichkeiten der schottischen Saatkartoffelerzeugung erörtert.
Abstract:
Résumé Bien que la valeur des plants de pomme de terre écossais soit connue depuis longtemps, la lutte organisée contre les maladies à virus transmises par les pucerons n'a débuté qu'accidentellement par un programme de délivrance de certificats sanitaires entrepris en 1918, principalement à cause de la galle verruqueuse. On ne commença à tenir compte des maladies à virus dans les plants de pomme de terre destinés au commerce qu'en 1932, la tolérance des maladies graves étant de 5%. Depuis lors, l'état sanitaire des cultures écossaises s'est continuellement amélioré et dans bien des régions du pays, les cultures sont rarement refusées pour cause de maladies à virus (Tableaux 1 et 2). On multiplie actuellement les plants à partir d'un seul parent exempt de virus;pour la classe de plus haute valeur, provenant immédiatement de plants où l'absence de virus a été vérifiée, la tolérance maximale de maladies à virus est de 10 plantes par acre pour l'infection visible au virus X et de 2 plantes par acre pour l'enroulement. Dans la plupart des régions d'Ecosse, les cultures refusées pour cause d'enroulement ou de mosaique grave sont rares. Le fait qu'il n'y a plus eu d'épidémie de viroses transmises par les pucerons depuis 1945 est attribué en partie à la réduction relative du nombre de sources d'infection (tableau 2). Dans presque tout le pays. la vitesse de propagation de l'enroulement est plus grande que celle du virus Y. Cette propagation généralement lente du virus Y a contribué à préserver l'Ecosse de l'épidémie désastreuse du virus de la bigarrure actuellement observée sur le continent européen. Les données du programme de délivrance de certificats et des aperçus détaillés montrent que la propagation est plus importante dans le Sud et l'Est du pays, surtout le long de la côte, que dans le Nord et l'Ouest (tableaux 2 et 3). Cette distribution est liéc plutôt à des facteurs climatiques et topographiques qu'à celle des cultures de pommes de terre de consommation par exemple (tableau 3). Dans certaines régions du Sud de l'Ecosse, surtout le long de la côte, l'attaque par l'enroulement peut atteindre une importance indésirable. Mais dans certaines parties de cette région, l'augmentation indiquée de l'incidence de l'enroulement n'avait pour résultat qu'une attaque à peu près doublée en nombre des plantes de la culture — proportion de l'attaque permmettant encore de produire une semence assez saine (tableau 4). Même dans certains contrées où la production de plants est relativement faible, la propagation de l'enroulement peut survenir assez tard pour que la destruction des plantes malades et d'autres moyens actifs de lutte aient de l'effet (tableau 6). Sous le jour des connaissances actuelles sur l'incidence des maladies à virus et sur la lutte contre ces maladies, l'auteur nomme quelques possibilité d'évolution de la production écossaise de plants de pomme de terre.
Notes:
Summary Although the worth of Scottish seed potatoes has long been known, organised control of the aphid-borne virus diseases began incidentally with an official crop certification scheme inaugurated in 1918 primarily because of wart disease. Virus diseases were first considered in commercial seed stocks in 1932. Since then the health status of Scottish stocks has continuously improved and in many regions of the country crops are rarely rejected for virus disease. The fact that there has been no epidemic of aphidborne virus disease since 1945 may be due partly to the relative decrease in the incidence of infective sources. Records from both the certification scheme and detailed surveys show that spread is greater in the south and east, particularly in coastal areas, than in the north and west. This distribution is bound up with climatic and topographical factors rather than, for instance, with that of ware (consumption) crops. In general spread is still sufficiently low in the south to allow the production of reasonably healthy seed. Almost throughout the country the rate of spread is higher for leaf roll virus than for virus Y. Even in relatively inferior areas of seed production the spread of leaf roll can be late enough for active control measures to be effective.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02364845
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