ISSN:
1573-8248
Keywords:
Predator
;
prey
;
ELISA
;
gut content analysis
;
methods
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Résumé La nouvelle méthode d'analyse immunologique du contenu du tube digestif des insectes prédateurs diffère des méthodes précédemment décrites car elle ne demande pas le développement préalable d'anticorps spécifiques de la proie. Au contraire la proie est marquée avec un antigène de mammifère déjà disponible, l'immunoglobuline G de lapin (IgG). Nous avons donc testé cette méthode sur des prédateurs nourris de proies marquées par l'immunoglobuline par la technique ELISA en utilisant un anticorps de l'immunoglobuline de lapin. Parmi les espèces de prédateurs nourries de proies marquées à l'immunoglobuline, 98,8% d'entre elles (du type broyeur) ont réagi positivement à l'immunoglobuline 1 heure après s'être nourries. Notre technique de marquage de proie ELISA est moins efficace pour détecter les restes de proies marqués à l'immunoglobuline chez les prédateurs de type suceur-piqueur. Seulement 29,5% de ces derniers présentent une réaction positive à l'immunolobuline dans leur tube digestif lh après s'être nourris. Les résultats de cette étude montrent que cette technique de marquage pourrait être largement utilisée pour analyser le contenu intestinal des prédateurs de type broyeur mais qu'elle présente un intérêt limité pour les prédateurs de type suceur-piqueur.
Notes:
Abstract We introduce a new method for immunologically examining predator gut contents. It differs from previously described gut content analyses because it does not require the development of prey-specific antibody probes. Instead, insect prey were marked with a readily available antigen, rabbit immunoglobulin G (IgG). We then assayed predators that had fed on IgG labeled prey with an enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) using goat anti-rabbit IgG. Of the predator species that fed on the IgG labeled prey, 98.8% of those with chewing mouthparts scored positive for IgG 1 h after feeding. Our prey-labeling ELISA was less efficient for detecting IgG prey remains in predators with piercing/sucking mouthparts. Only 29.5% of these individuals scored positive for rabbit IgG in their guts 1 h after feeding. An additional study was conducted to measure the retention time of IgG-labeled prey in the guts of two species of predators with chewing mouthparts. Results from this experiment showed that the retention time varied depending on the predator and prey species examined. Results from these studies indicate that this marking technique could have widespread use for analyzing the gut contents of predators with chewing mouthparts, but it has limited application for those predators with piercing/sucking mouthparts.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02373030
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