ISSN:
1871-4528
Keywords:
developing countries
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energy
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food consumption
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food prices
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production costs
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technology
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stock feed
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starch
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Zusammenfassung Gegenwärtige Situation Die Kartoffelproduktion nimmt in den gemässigten Zonen langsam ab (Abb. 1), während sie in den Tropen und Subtropen in der gleichen Rate wie die Reisproduktion (Abb. 3) zunimmt (Abb. 2). Ausgedrückt als Energie oder Protein ist der Ertragsanstieg für Kartoffeln höher als für Reis oder Weizen (Abb. 4), aber die Pro-Kopf-Produktion bleibt in den meisten Gebieten der Tropen oder Subtropen sehr niedrig (Tabelle 1). Die Kartoffeln können mehr essbare Energie und Protein pro Zeiteinheit und Fläche erzeugen als die meisten anderen Früchte, aber der Energieeinsatz ist auch hoch (Tabelle 2). Obwohl das Energieumsatzverhältnis für traditionelle und moderne Produktionssysteme ähnlich ist, ist der Nettoenergieausstoss für moderne Systeme höher (Tabelle 3). Die Produktionskosten pro Energieeinheit oder Trockensubstanz sind für Kartoffeln höher als für andere Feldfrüchte (Tabellen 4–6), in den Entwicklungsländern relativ höher als in den Industriestaaten wie z. B. den Niederlanden (Tabelle 7) oder in den Höhenlagen der Tropen (Tabelle 8). Die wichtigsten Kostenkomponenten sind Pflanzgut, Arbeit und Chemikalien (Tabellen 9–11). Verwertung Tabelle 12 zeigt die Schätzwerte der Kartoffelverwertung. Der Pro-Kopf-Verbrauch ist in West-Europa und Nordamerika nahezu stabil (Abb. 5), nimmt aber in den meisten tropischen und subtropischen Ländern noch zu (Abb. 6). Ein Grund für den niedrigen Verbrauch in den Entwicklungsländern ist der relativ hohe Verbraucherpreis (Tabellen 13–15), wofür mehr die relativ hohen Produktionskosten (Tabelle 17) als zu hohe Markterlöse stehen (Tabelle 16). In Entwicklungsländern ist der Pro-Kopf-Verbrauch für Veränderungen im Einkommen und im Preis verantwortlich (Einkommenselastizität 0,965 und Preiselastizität −2,208). Weitere Entwicklung und begrenzende Faktoren Die Kartoffel ist für die Äthanolproduktion nicht die wirtschaftlichste Frucht (Tabellen 18 und 19), sie kann mit der Maisproduktion für Stärke nicht konkurrieren und sie ist in West-europa nicht erfolgreich als Viehfutter bei dem gegen wärtigen Preisniveau für Gerste und Mais (Abb. 8). Geringe Steigerungen des Pro-Kopf-Verbrauches in Westeuropa und Nordamerika, die erwartet werden können, wenn die Verbraucher besser über den Nährwert der Kartoffel aufgeklärt werden, können durch eine Steigerung des Ertrages, vorausgesetzt, dass diese den Qualitätsansprüchen genügt, erreicht werden. In den Entwicklungsländern erfordert eine Ausweitung des Pro-Kopf-Verbrauches eine Senkung der Verbraucherpreise. Möglicher Beitrag der Forschung zur Kartoffelproduktion und zum—Verbrauch in den Tropen und Subtropen Die Ausdehnung der Kartoffel in den Tropen und Subtropen ist von einer Preissenkung für Speisekartoffeln abhängig was, umgekehrt, abhängt von einer Senkung der Kosten/kg. Der Spielraum für die Preissenkung/ha ist begrenzt durch die Züchtung krankheitsresistenter Sorten, Verbesserung der Pflanzkartoffel-programme und in einigen Gebieten, Verwendung von Kartoffelsamen. Der Spielraum für die Senkung der Kosten/kg Knollen ist viel grösser, wenn gesundes Pflanzgut vorhanden ist (Tabelle 22) und neue Techniken z. B. Samen (‘true seed’) angewendet werden. Forschung ist notwendig um (1) neue Methoden für die Pflanzgutvermehrung, (2) gegen Trockenheit, Hitze, Frost und Salz tolerante Sorten, (3) Samen, die direkt vom Anbauer benutzt werden können, (4) Methoden zur Regulierung des Stengel- und Knollenwachstums und (5) einfache Lagerungs- und Verarbeitungstechniken zu entwickeln. Es wird angenommen, dass der Ertrag in den meisten tropischen und subtropischen Ländern verdoppelt werden kann, mit nur geringem Anstieg der Produktionskosten/ha und mit einer darauffolgenden beträchtlichen Senkung der Produktionskosten/kg. Das würde die Kartoffel in vielen tropischen und subtropischen Ländern zu einem billigen Gemüse machen und zu einem Hauptnahrungsmittel in vielen Gebieten der Höhenlagen. Mit einem möglichen Ertrag von 20 t/ha (Tabelle 21) würde das Verhältnis ‘tatsächlicher/möglicher Ertrag’ 0,3 betragen und damit auf westeuropäischem Niveau liegen. Das bedeutet, dass ein Ertrag von 20–25 t/ha in den Tropen oder Subtropen, aus technischer Sicht, einem Ertrag von ungefähr 40 t/ha in Westeuropa vergleichbar ist.
Abstract:
Résumé Situation actuelle La production de la pomme de terre diminue lentement dans les régions tempérées (fig. 1) tandis qu'elle augmente (fig. 2) dans les zones tropicales et subtropicales, environ au même rythme que la production de riz (fig. 3). Exprimée en termes d'énergie ou de protéines, l'augmentation cumulée du rendement de la pomme de terre est plus forte que celle du riz ou du blé (fig. 4), mais la production par habitant demeure très faible dans la plupart des pays tropicaux ou subtropicaux (tableau 1). La pomme de terre peut produire par unité de temps et de surface des quantités d'énergie consommable et de protéines supérieures à celles de la plupart des autres cultures, mais l'énergie absorbée est également élevée (tableau 2). Bien que le rapport de conversion de l'énergie soit analogue pour les systèmes de culture traditionnels et modernes, la production nette d'énergie est plus élevée dans le cas des systèmes modernes (tableau 3). La pomme de terre a des coûts de production plus élevés, par unité d'énergie ou de matière sèche, que les autres cultures alimentaires (tableaux 4–6) mais ces coûts sont relativement plus élevés dans les pays en voie de développement que dans un pays industrialisé comme les Pays-Bas (tableau 7) ou dans les tropiques (tableau 8) à haute altitude. Dans les pays en voie de développement, les composantes principales du coût de production sont: les semences, le travail et les produits chimiques (tableaux 9–11). Utilisation Des estimations d'utilisation de la pomme de terre sont données dans le tableau 12. La consommation par habitant est à peu près stable en Europe de l'Ouest et en Amérique du Nord (fig. 5) mais elle augmente encore dans la plupart des pays tropicaux et subtropicaux (fig. 6). Les prix de détail relativement élevés sont une des raisons de la faible consommation dans les pays en voie de développement (tableau 13–15) et ceci est dû davantage aux coûts de production relativement élevés (tableau 17) qu'aux marges bénéficiaires à la commercialisation (tableau 16). Dans les pays en voie de développement, la consommation par habitant dépend largement des changements de revenu et de prix (élasticité des revenus de 0,965 et élasticité des prix de −2,208). Développement futur et facteurs limitants La pomme de terre n'est pas la culture la plus économique pour la production d'éthanol (tableaux 18 et 19), elle n'est pas compétitive vis à vis du maïs pour la production de fécule (fig. 7) et elle n'est pas rentable en Europe de l'Ouest pour l'alimentation animale, avec les niveaux de prix actuels de l'orge et du maïs (fig. 8). Une légère augmentation de la consommation par habitant, à laquelle les pays d'Europe de l'Ouest et d'Amérique du Nord pourraient s'attendre si les consommateurs étaient mieux informés sur la valeur nutritive de la pomme de terre, serait possible par des augmentations de rendement à condition de prendre en compte les exigences de qualité. Dans les pays en voie de développement, une augmentation de la consommation par habitant suppose une diminution des prix de détail. Contribution potentielle de la recherche à la production et à la consommation de la pomme de terre dans les pays tropicaux et subtropicaux L'expansion de la culture de la pomme de terre dans les pays tropicaux et subtropicaux dépend de la diminution du prix des pommes de terre de consommation, qui lui même dépend de la réduction du coût par kilo. Les possibilités de réduire les coûts de production par ha se limitent à la sélection de variétés résistantes aux maladies, à l'amélioration des programmes de production de plants et, dans certaines régions, à l'utilisation de semences vraies. Les possibilités de réduire les coûts par kg de tubercules sont plus nombreuses si les techniques existantes (plants indemnes de virus) et nouvelles (semences vraies) sont appliquées. La recherche est nécessaire pour développer (1) les techniques nouvelles de multiplication de semences, (2) les variétés tolérantes à la sècheresse, la chaleur, le gel et la salinité, (3) les semences prêtes à être utilisées par les producteurs, (4) les méthodes de régulation de la croissance des fanes et des tubercules et (5) les techniques simples de stockage et de transformation. On estime que le rendement peut être multiplié par deux dans la plupart des pays tropicaux et subtropicaux, ceci avec une faible augmentation des coûts de production par kg. La pomme de terre deviendrait un légume d'un bon marché dans beaucoup de pays tropicaux et subtropicaux et une denrée première pour davantage de régions de haute altitude. Avec un rendement potentiel de 20 t/ha (tableau 21) le rapport actuel: rendement potentiel de 0,3 serait à un niveau comparable à celui de l'Europe de l'Ouest. C'est-à-dire qu'un rendement de 20–25 t/ha dans les tropiques ou subtropiques, correspond, d'un point de vue technique, à un rendement de l'ordre de 40 t/ha en Europe de l'Ouest.
Notes:
Summary Potato production is increasing rapidly in the tropics and sub-tropics and is declining gradually in the temperate zone. It is not expected that in the near future potato production for ethanol production will become important or that the production for starch or stock feed will increase. Consumption per capita is more or less stable in Western Europe and North America but is increasing in Africa and Asia. On average, energy and protein from potatoes cost the developing-country consumer at least three times as much as from wheat or rice. Better application by farmers of existing and newly developed technologies — including better adapted cultivars, healthy seed tubers, botanical seed and low-cost storage and processing — can reduce costs per unit of output substantially, mainly by increasing yield. Doubling the yield without considerable increases in production costs per hectare would allow the potato to become a cheap vegetable in many tropical or sub-tropical areas and to become a staple food in others with favourable growing conditions.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02356154
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