ISSN:
1439-0574
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Summary The results are presented in a survey of peeling by mouflon in spruce stands in the former mouflon research district Padberg, county of Hochsauerland, of the Research Station for Hunting Lore and Wildlife Damage Prevention. Observations were made from 1958 to 1970. Peeling in winter reached a peak in the extreme winter of 1962/63 when 8% of the trees were peeled. Summer peeling was considerably less, usually about 10% of the total peeling. Based on total peeling, root peeling was about 15% to 25% in winter, while the value for the dry summer of 1959 was 60%, based on the summer peeling per trunk. Mouflon peeled spruce stands over 30 years old more than those under 30. Further, little peeling of beech by Mouflon was proven. Of the tested anti-peeling preparations, chemical ones were effective on beech and spruce and mechanical protection in the form of a dry band for spruce. The protection was effective over a period of five or more years. The mechanical-biological protection, a sort of smoothing, reduced peeling up to 80% and more, compared to untreated trees, as far as the experiments are evaluated in which unprotected trees were peeled 3% and more. One stand of spruce, 18 years old, was badly damaged by the Flammigersche protective method; 12 trees died. The smoothing method caused only minor bark damage, which can be tolerated since this method is quite inexpensive.
Abstract:
Résumé Il est rendu compte de relevés d'écorcements causés par le Mouflon dans l'ancien territoire de chasse expérimental (Station de Recherches Cynégétiques et de Prévention des Dégâts de Gibier) de Padberg (Haut Sauerland). La période d'observation s'étendit de 1958 à 1970. L'écorcement d'hiver atteignit sa valeur la plus élevée au cours de l'hiver exceptionnel de 1962–63 avec un taux de 8% de pieds touchés. L'écorcement d'été, par contre, ne présenta généralement pas un caractère aigu en se situant aux environs ou en-dessous de 10% de la totalité des pieds écorcés au niveau du tronc. Par rapport à l'ensemble des écorcements causés aux troncs, l'écorcement causé aux racines traçantes au cours de l'hiver s'est situé entre 15 et 25% tandis qu'au cours de l'été sec de 1959, ce type d'écorcement s'est élevé à 60% des écorcements d'été causés aux troncs. Le Mouflon écorça plus intensivement les peuplements d'Epicéa de plus de trente ans que ceux de moins de 30 ans. Quelques écorcements d'été au Hêtre furent également signalés. Parmi les répulsifs expérimentés, les produits chimiques (pour l'Epicéa et le Hêtre) et la protection mécanique au moyen d'un manchon de ramilles sèches (pour l'Epicéa) se sont avérés pleinement efficaces tout au long d'une période de cinq ans et plus. Le traitement mécanique-biologique au moyen d'un rabot réduisit l'écorcement des pieds traités par rapport aux pieds non-traités dans une proportion de 80% et plus, l'écorcement concernant 3% des pieds non-traités. Un peuplement d'Epicéa traité à l'âge de 18 ans au moyen du grattoir de Flammig fut fortement endommagé par le traitement en question et 12 arbres succombèrent. Le traitement au rabot ne causa que des dommages faibles à modérés à l'écorce; ils ne portèrent pas à conséquence en raison du coût avantageux du traitement mécanique-biologique.
Notes:
Zusammenfassung Mitgeteilt werden Auszählergebnisse für das Schälen durch Muffelwild in Fichtenbeständen in dem ehemaligen Muffelwildversuchsrevier Padberg, Hochsauerlandkreis, der Forschungsstelle für Jagdkunde und Wildschadenverhütung. Der Beobachtungszeitraum erstreckte sich von 1958 bis 1970. Die Winterschäle erreichte mit 8% geschälter Stämme in dem Extremwinter 1962/63 den Höchstwert. Die Sommerschäle trat demgegenüber meist zurück und bewegte sich um oder unter 10% der Gesamtstammschäle. Bezogen auf die Gesamtstammschäle lag die Wurzelschäle im Winter im Bereich von 15% bis 25%, der Wert für den trockenen Sommer 1959 lag bei 60% bezogen auf die Sommerschäle am Stamm. Das Muffelwild schälte über 30 Jahre alte Fichtenbestände stärker als unter 30 Jahre alte. Nachgewiesen wurden weiterhin geringe Sommerschälschäden durch Muffelwild an Buche. Von den erprobten Schälschutzmitteln zeigten die chemischen Präparate bei der Buche und Fichte und der mechanische Schälschutz in Form des Trockeneinbandes bei der Fichte über einen Zeitraum von fünf und mehr Jahren eine volle Abwehrwirkung. Der mechanisch-biologische Schälschutz, als Hobelverfahren durchgeführt, minderte die Muffelwildschäle gegenüber unbehandelt um 80% und mehr, soweit die Versuche gewertet werden, bei denen an ungeschützten Stämmen 3% und mehr Schäle auftrat. Ein im Alter von 18 Jahren mit Flammigerschen Schutzkratzer behandelter Fichtenbestand wurde durch das Schutzverfahren stark geschädigt, 12 Stämme starben ab. Das Hobelverfahren brachte nur geringe bis mäßige Rindenschäden, die zum Teil wegen der Billigkeit des mechanisch-biologischen Schutzes in Kauf genommen werden könnten.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF01905906
Permalink