ISSN:
1871-4528
Keywords:
Solanum berthaultii
;
Myzus persicae
;
PVY
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Zusammenfassung Wie bereits früher gezeigt wurde, schützen klebrige Drüsenhaare auf den Blättern der WildkartoffelSolanum berthaultii gegen verschiedene Kartoffelschädlinge einschliesslich der Läuse; solche Haare gibt es in britischen Kartoffelsorten nicht. Ein Haartyp produziert ein klebriges Sekret an seiner Spitze, dieses Sekret kann mit Äthanol abgewaschen werden und eine ständige Berieselung mit Wasser verhindert eine Phytotoxizität. Ein zweiter Haartyp mit einer zellulären viergliedrigen Spitze wird durch das Waschen nicht beeinflusst. Drei Tage nach dem Aufsetzen von geflügeltenMyzus persicae oder geflügeltenBrachycaudus helichrysi (einem Vektor des Y-Virus der Kartoffel (PVY), der aber Kartoffeln nicht befällt) auf Planzen vonS. berthaultii oder von King Edward, blieben mehr als 85% auf mit Wasser berieseltenS. berthaultii, 45% auf mit Äthanol und Wasser gewaschenemS. berthaultii und nur 15–20% auf King Edward, unabhängig von der Behandlung (Abb. 1). Viele Läuse, die aufS. berthaultii blieben, wurden gefangen und einige hatten durch das klebrige Sekret der Drüsenhaare verschmierte Mundpartien (Abb. 2).M. persicae nahm PVY häufiger von mit Wasser und Äthanol gewaschenen infizierten Blättern vonS. berthaultii auf als von allein mit Wasser gewaschenen. Damit verbunden waren auch seltenere Probeeinstiche der Läuse in mit Wasser gewaschene Blätter, aber häufige in Blätter deren Haare von dem klebrigen Sekret durch Alkoholwaschungen befreit waren. Diese im Gewächshaus gewonnenen Ergebnisse zeigen, dass die Züchtung von Kartoffelsorten mit Drüsenhaaren, die vonS. berthaultii abstammen, helfen könnte, die Verbreitung der durch Läuse übertragbaren Viren in Kartoffelbeständen einzuschränken.
Abstract:
Résumé Des poils foliaires glandulaires de la pomme de terre sauvageSolanum berthaultii ont déjà été observés comme protégeant de nombreaux ennemis de la pomme de terre, y compris les aphides. De tels poils ne sont pas connus sur les variétés britanniques. Un type de poil produit un exudat gluant à son extrémité. Ces exudats peuvent être lessivés par l'éthanol, dont on prévient la phytotoxicité par un rinçage immédiat à l'eau. Un second type de poil à extrémité cellulaire tétralobée n'est pas affecté par un tel lessivage. Trois jours après l'installation d'ailés deMyzus persicae on d'ailés deBrachycaudus helichrysi (un vecteur du virus Y de la pomme de terre (PVY) mais qui ne colonise pas la pomme de terre) sur les plants deS. berthaultii ou King Edward, 85% environ demeurent surS. berthaultii rincée avec de l'eau, 45% restent surS. berthaultii la vée à l'éthanol et à l'eau, et seulement 15–20% se maintiennent sur King Edward, quel que soit le traitement (fig. 1). La plupart des aphides restant surS. berthaultii sont piégés, et certains ont leurs pièces buccales engluées par l'exudat des poils glandulaires (fig. 2).M. persicae se multiplie plus lentement surS. berthaultii lavé à l'eau que surS. berthaultii lavé à l'éthanol.M. persicae acquiert le PVY plus fréquemment à partir des feuilles infectées deS. berthaultii lavées à l'éthanol et à l'eau que sur des feuilles seulement lavées à l'eau. Conjointement, les aphides explorent rarement les feuilles lavées à l'eau, mais visitent volontiers les feuilles dont les poils sont dépourvus de l'exudat gluant par lavage à l'éthanol. Ces résultats en serre suggèrent que les variétés de pomme de terre avec des poils glandulaires provenant de croisements deS. berthaultii pourraient aider à réduire l'extension de virus transmis par les pucerons dans les cultures de pomme de terre.
Notes:
Summary Sticky glandular hairs on the foliage of the wild potatoSolanum berthaultii hindered the departure of wingedMyzus persicae andBrachycaudus helichrysi. The presence of sticky hairs also decreased multiplication ofM. persicae, lessened probing and lessened acquisition of potato virus Y during 5 min access periods. It is suggested that if the glandular hairs were bred into potato cultivars, these features would help restrict the spread of aphidborne viruses in crops.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02360673
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