ISSN:
1573-8248
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Summary The parthenogenetic strain ofAphytis chilensis How. found in Greece shows 2 maxima of abundance, one in spring and the other in autum. In 79,2% of all cases the parasite attacks young ♀ ofA. nerii, in 18,9% ♂ pronymphs, and only rarely it is found on ovipositing ♀, ♂ L2 or ♂ nymphs. Up to 4 parasites can develop on a young scale ♀. In fact, 40,2% of all scales exhibit superparasitism at the egg level, which then decreases to 13,7% in the nymphs. This parasite is capable of maintaining a high parasitization rate over a wide range of host densities (2–20 parasitizable scales per leaf). Among chosen leafs of the same low scale density the parasite is more efficient on old leaves than on new ones. For every living immature parasite found in a sample, the parasite ♀ has killed another young scale ♀ through host-feeding. Over a period of 4 years each peak in active parasitism, which increases from 18,4% in 1975 to 61,4% in 1977, therefore coincides with a corresponding increase in the maximum scale mortality, which runs from 61,7% to 88,2%. During the same period the scale density has dropped about 20 times. These results demonstrate the practical importance of the indigenousA. chilensis in the biological control ofA. nerii.
Notes:
Résumé La souche parthénogénétique d'Aphytis chilensis How., qui se trouve en Crète, a 2 maxima d'abondance, au printemps et en automne. Dans 79,2% des cas le parasite attaque les jeunes ♀ d'Aspidiotus nerii Bouché; 18,9% des parasites se trouvent sur les pronymphes ♂, et rarement les ♀ en oviposition, les L2 ♂ et les nymphes ♂ sont acceptés comme hôtes. Parmi les cochenilles contenant des œufs du parasite, 40,2% en avaient de 2 à 4; ce superparasitisme évalué au stade nymphal se réduit à 13,7%, ce qui montre que tous les parasites ne peuvent se développer. Le parasite est capable de se maintenir à un taux de parasitisme élevé dans une gamme assez large de densités de l'hôte allant de 2 à 20 cochenilles susceptibles d'être parasitées par feuille. Aux basses densités, il est plus efficace sur vieilles feuilles que sur nouvelles feuilles. Chaque parasite immature vivant correspond à la destruction de 2 cochenilles-hôtes: 1 par parasitisme, 1 par «host-feeding». En conséquence, on observe que chaque accroissement du taux de parasitisme s'accompagne d'une augmentation parallèle de la mortalité non-parasitaire. C'est ainsi que le parasitisme maximum s'accroît de 18,4% en 1975, à 61,4% en 1977, tandis que la mortalité maximum passe de 61,7% à 88,2%. Pendant la même période, la densité de la cochenille s'est trouvée réduite de 20 fois environ. Ces résultats montrent tout l'intérêt pratique de la présence spontanée du parasite indigène,A. chilensis, pour la limitation des populations d'A. nerii.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02377523
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