ISSN:
1573-8248
Keywords:
Lutte biologique
;
coccides
;
Diaspididae
;
Lecanidae
;
Aleyrodidae parasitisme
;
Aphelinidae
;
Encyrtidae
;
Key-Words
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Biological control
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coccids
;
Diaspididae
;
Lecanidae
;
Aleurodidae parasitism
;
Aphelinidae
;
Encyrtidae
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Agriculture, Forestry, Horticulture, Fishery, Domestic Science, Nutrition
Description / Table of Contents:
Summary There are many insects that feed on citrus, but only some such asUnaspis yanonensis andAonidiella aurantii (Diaspines),Saissetia oleae (Lecanines),Planococcus citri (Pseudococcines),Aleurothrixus floccosus andDialeurodes citri (Aleurodes) are capable of producing severe crop damage. To obtain a better understanding on how pest populations build-up, research has concentrated on quantifying the distribution of pest species according to the type and age of the plant part they are feeding on. By relating the numbers of crawlers and immobile stages of whiteflies and coccids to the area of plant foliage, it was possible to record changes in pest populations from generation to generation and to determine those predators important in biological control. The influence of abiotic factors on survival of the principal pests,A. aurantii, A. floccosus andD. citri, was also estimated. The way in which beneficial insects can be used depends upon whether they are to be established under field conditions or just released at regular intervals. Biological control is also influenced by the pest's biology and by the feasibility of mass rearing the parasite. WithMetaphycus bartletti/M. lounsburyi 2 parasites specific toSaissetia oleae; andCales noaki andAmitus spiniferus 2 parasites ofAleurothrixus floccosus: there seems little possibility of mass rearing as the beneficial insects can only be produced on the pest species infesting citrus plants. In contrast, the parasiteAphytis melinus can be mass reared on infestations of non pest species such asAspidiotus nerii feeding on squash. Beneficial insects such asAphytis melinus can be released using the “inundative” approach at the rate of several million individuals per hectare. Insects released for trial establishment such asCales noacki, Encarsia lahorensis, Aphytis lepidosaphes, A. yanonensis, Metaphycus helvolus, M. bartletti, M. lounsburyi andDiversinervus elegans, are normally released only in numbers of hundreds of thousands per hectare. The success of biological control systems can be regarded as total (C. noacki againstA. floccosus; A. lepidosaphes againstL. beckii; parasites againstS. oleae) or partial (E. lahorensis againstD. citri). In total or substantial control, the result is often equal to, or better than, applying pesticides. Factors limiting the efficiency of beneficial insects can arise from poor searching and limited dispersal of the parasite (eg.E. lahorensis), from cold conditions lowering the effectiveness of certains species (eg.Metaphycus spp.), and from pesticides disturbing the overall equilibrium of the fauna (eg.A. nerii-A. chilensis). An attempt was made to determine the economic threshold of the pestsD. citri, S. oleae andL. beckii under different cultural and climatic conditions. The immediate and delayed action of pesticides against the major beneficial was also recorded. Earlier experiments had shown that following treatment with metidathion, the parasite entomofauna took 3 years to recover. The influence of cultural practices has been studied. Although windbreaks have a beneficial effect by providing shelter for parasites of scale insects, they also have a detrimental effect by increasing the density of both scales and whiteflies. Excess use of nitrogen fertilizer also increased whitefly populations, especially populations ofD. citri. Hopefully the present studies can be extended to produce predictive or decision models concerning the whole pest/parasite complex in citrus groves.
Notes:
Résumé Les problèmes posés par les ravageurs des Citrus ont pris une importance considérable au cours de ces 3 dernières décennies et cela pour plusieurs raisons: - dans un 1er temps, l'on peut invoquer l'introduction accidentelle de ravageurs,Dialeurodes citri Ashm en 1945 (Pussard, 1953),Unaspis yanonensis Kuw. en 1963 (Commeau & Sola, 1964) etAleurothrix floccosus Mask. en 1967 (Onillon, 1969). Ces 3 espèces démunies de leur cortège d'ennemis naturels et trouvant dans leur nouvelle aire de répartition des conditions favorables de développement, ont très rapidement présenté d'importantes pullulations. Ces ravageurs nouveaux sont venus compléter une liste déjà longue d'une dizaine de phytophages majeurs au niveau des plantations d'agrumes du Bassin Méditerranéen; - un 2ème facteur non négligeable est présenté par un vieillissement des plantations et l'importance du coût des méthodes culturales d'entretien qui sont comme la taille souvent négligées notamment pour les Citrus d'ornement ou de jardins familiaux. Ces facteurs ont alors pour corollaire le maintien d'arbres à frondaison dense assurant un développement optimum du ravageur; - enfin le développement d'une lutte chimique d'assurance, génératrice de déséquilibres fauniques particulièrement sensibles au niveau des acariens par élimination d'une partie de l'entomofaune prédatrice ou au niveau des cochenilles telles queAspidiotus nerii Bouché ouParlatoria pergandei Comst. par destruction de l'entomofaune parasitaire utile. Le potentiel de ces ravageurs, pour la plupart plurivoltins, est souvent très important et les conditions climatiques favorables jointes à la persistance pendant toute l'année de la frondaison assurent des niveaux de populations très élevés. L'inventaire des auxiliaires inféodés à chacun des principaux ravageurs des Citrus montre une richesse étonnante, fonction de très nombreuses prospections et collectes d'entomophages réalisées. Les listes, par exemple, des parasitoïdes et prédateurs associés àAleurothrixus floccosus (tabl. 1) ou àDialeurodes citri (tabl. 2), telles qu'elles sont présentées parMound & Hasley (1978), montrent la diversité remarquable des antagonistes disponibles et ne facilitent pas le choix de l'entomophage à utiliser. Cependant, dans le domaine des Citrus, de nombreux exemples de réussite en lutte biologique, comme le montre le tableau 3 emprunté aux travaux deDe Bach (1964), viennent appuyer cette orientation des recherches même si les succès obtenus sont parfois la conséquence de la simple sélection du milieu pour l'isolement de l'entomophage le plus performant. Les chercheurs français et avec eux la majorité des chercheurs du Bassin Méditerranéen (O.I.L.B., 1974, 1975, 1977, 1981) ont pris comme option principale de recherche d'engager des études sur la dynamique des populations de ravageurs pour mieux comprendre les modalités de régulation par les auxiliaires, qu'il s'agisse d'aleurodes (Onillon, 1973;Malausa et al., 1985), de cochenilles Diaspines (Bénassy et al., 1975), Lécanines et Pseudococcines (Panis, 1980).
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02373184
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