ISSN:
1570-7458
Source:
Springer Online Journal Archives 1860-2000
Topics:
Biology
Description / Table of Contents:
Résumé Bien queLymantria dispar soit très polyphage, son comportement alimentaire et son écologie s'adaptent aux variations du milieu et à d'autres changements, notamment l'âge larvaire. La nature et l'étendue de ces réactions, qui déterminent l'exploitation de la plante-hôte par les larves, se reflètent en partie dans des facteurs tels que l'acceptabilité de la plante-hôte pour les larves, et son adaptation à leur développement et la transformation métabolique du feuillage de l'hôte. En général, il y a concordance entre ces paramètres pour les hôtes très recherchés comme le chêne rouge et pour les hôtes relativement peu rechterchés comme l'érable rouge (Acer rubrum). Ainsi, le chêne rouge est aisément accepté par les larves et produit des larves à croissance rapide qui deviennent de grosses pupes. L'érable rouge a l'effet opposé. Ces caractéristiques déterminent la structure fine de l'exploitation de la plantehôte mais d'autres facteurs non nutritionnels peuvent intervenir dans l'exploitation de la plante-hôte. La présence de lambeaux d'écorce, permettant le repos essentiel à la survie, peut être très importante dans le choix de l'hôte pouvant être utilisé avec succès.
Notes:
Abstract The natural occurrence of gypsy moth (Lymantria dispar L.) on different tree species in New England is compared with experimental results on host plant preference, utilisation of food and overall suitability of the different species as food plants. Highest numbers were found on red and white oak (Quercus rubra andQuercus alba), but leaves of some other species were acceptable. Some others were also suitable for development. The importance of variation between individuals is stressed, as is the need to consider the whole biological need of the animal in the environment, and not just individual factors such as feeding.
Type of Medium:
Electronic Resource
URL:
http://dx.doi.org/10.1007/BF02385069
Permalink